"un petit mot sur mon blog"


"un petit mot sur mon blog"

Psyblog a posé son stylo le 5 juin dernier. Il est parti "ailleurs", pour une autre vie plus sereine et lumineuse.
Ce blog était pour lui une belle aventure d'écriture, de réflexion, d'émotion et de partage. Les commentaires de ses nombreux lecteurs en sont un témoignage chaleureux. Vos derniers mots tout particulièrement...
Continuez à le lire ou à le relire pour sa plus grande joie ailleurs...

lundi 7 novembre 2011

Solitude !



Une blogueuse quelque peu vindicative m'adresse (m'agresse ?) depuis plusieurs jours voire plusieurs mois ce message quelque peu étrange (en substance et parfois tel quel) : Vous êtes seul, monsieur Psyblog, davantage que vous voulez bien vous l'avouer !
Cela me questionne. Et parfois me déstabilise.
Qu'est-ce que la solitude ?

En vrac et spontanément, j'ai bien envie de dire/écrire que la solitude est cette émotion ce sentiment cette impression de ne compter pour personne et/ou de vivre "en dehors" du monde et des autres. L'on peut être ainsi seul au milieu d'autres, seul d'être incompris, seul de ne parler à personne, seul parce que personne avec qui partager, seul par choix ou par obligation, par hasard ou par rejet... La solitude est multiple et se situe dans les tréfonds psychiques de chacun. Qu'elle soit choisie ou subie jette par ailleurs quelques lumières sur la manière dont on peut la vivre.

La solitude, j'ai connu. De cette solitude qui vous laisse par terre, celle-là même qui pèse chaque minute et chaque seconde de votre vie. En avoir conscience et ne pouvoir qu'en pleurer. Cette douleur qui vous prend là, un jour, de vous apercevoir que vous seriez mort depuis quinze jours personne ne s'en serait aperçu. Cet insupportable constat que vous n'êtes rien pour personne, peut-être même insensible à la présence de quelqu'un, même. Cette solitude qui pousse au suicide, du moins à l'envie de..., celle-là même qui vous nie vous-même dans votre existence (PUB : Mon livre "Lettre à Marie") et que la lumière sur une scène de théâtre (oui oui, c'est du vécu) n'atteint pas. Je sais cette solitude, même applaudi, même aimé, même existant, même "pas seul" ! Car la solitude, le sentiment de solitude, est une émotion éminemment intime.
L'on peut ainsi être seul à deux, au milieu d'un groupe, entouré, même aimé.

Cependant la solitude peut être choisie. Certains ici, sur les blogs, s'en feraient même les porte-drapeaux. C'est la solitude choisie, celle de moments de vie, celle de l'ermite, de l'adolescent marchant seul sur une plage, histoire de réfléchir voire de se ressourcer, celle d'un épisode de vie. Ado je passais des heures sur les plages avec ma chienne... Des heures pour penser, pour regarder, pour être "avec moi" et rien qu'avec moi. Je m'isolais, même en internat, du "bruit" des autres, des autres, de la musique des autres... parce que j'aimais être seul. J'aimais être physiquement seul parce que je n'étais pas seul affectivement ni psychiquement. C'est sans doute la grande différence entre la véritable solitude, celle psychique et celle physique. Même si les deux "formes" ne sont pas incompatibles.

La solitude je rappelle, j'ai connu. La vraie. La puissante. La totale. Mais depuis bien longtemps je ne sais plus ce que c'est. Enfin, pour moi. Même si parfois, même au milieu d'autres je me sens seul. Mais ce n'est qu'une émotion fugace, pas un sentiment durable et destructeur. La vraie solitude est destructrice si pas choisie et durable.

Si Gilbert Bécaud a chanté que la solitude n'existait pas, sans doute pouvait-il se le permettre. Si Dalida a chanté qu'elle existait et que l'on pouvait faire presque n'importe quoi pour ne pas avoir le sentiment de vivre seul, Si Reggiani a  (Vous pouvez aussi écouter ,ceci) magnifié la solitude, c'est sans doute parce qu'ils et qu'elles avaient à le dire. Si moi Psyblog je peux ressentir parfois cette émotion-là de solitude, cela devient de plus en plus fugace et de moins en moins vrai. Je ne suis pas seul. Même si j'ai parfois l'émotion de l'être.

Je reçois parfois des personnes qui se plaignent d'être "seul(e)s". J'accepte leurs mots, c'est le moins que je puisse faire. La difficulté est d'analyser cette émotion-là (n'est pas forcément seul celui qui dit l'être) et de tenter de prendre conscience des liens qui l'unissent à d'autres. Certaines personnes se sentent seules mais ne font rien (ou "pas tout") pour ne plus l'être. Encore qu'entre "être seul" et" se sentir seul" il y a bien des différences. Le sentiment de solitude est bien intime.

Pour répondre à Stéphanie, qui me défie en m'accusant d'être seul, je -lui- répondrais bien Oui. Oui je suis seul lorsque je me sens seul. Parfois. Mais globalement, affectivement, quotidiennement, profondément je ne suis pas seul. L'insulte serait-elle si grave de traiter quelqu'un de "seul" ?

Moi, aux "seuls", je leur tends la main. C'est dans ma nature de moi-perso. Et c'est dans ma nature de moi-psy. Après, on peut prendre la main qui se tend, ou ne pas la prendre.

Je ne suis pas seul parce que je suis aimé. Je ne suis pas seul parce que mon travail est tourné vers les autres. Je ne suis pas seul pârce que des gens m'aiment, me lisent et aprécient ce" que j'écris. Je ne suis pas seul parce que mes enfants comptent sur moi et comptent pour moi. Je ne susi pas seul parce que des gens achètent mes livres. Je ne suis pas seul parce que l'on m'attends.

Je ne suis pas seul parce que j'ai pu construire des relations avec d'autres personnes...
Mais je sais que la solitude existe.


PS ajouté en ce lundi 7 novembre à 19 heures : Stéphanie, aussi connue sous le pseudo de Zoé, ne sévira plus sur ce blog. Parce que j'en ai décidé ainsi.

38 commentaires:

  1. Chacun réagit évidemment à sa façon...

    Pour ma part, je pense que j'aurais été à ta place, j'aurais fait ce que tu as déjà fait il y a quelques mois : bloquer définitivement les messages de Stéphanie. Car personnellement, je ne vois vraiment pas ce que ses messages apportent de constructif à ton blog.

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  2. Ce que je ne comprends pas c'est pourquoi elle semble te reprocher ça cette Stéphanie ? Elle considère donc que tu prétendrais ne pas l'être alors que tu le serais ??? Comment le saurait-elle ? Et puis, tu n'as jamais prétendu ne jamais être ou te sentir seul. Donc, je ne vois pas la finalité de son propos.

    Ta note, quant à elle est intéressante. C'est vrai que c'est assez personnel. J'avais autrefois écrit un truc sur la solitude, je ne me souviens plus trop bien où et quand... faudrait que je cherche !

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  3. C'est qui cette Stéphanie???? Elle doit pas bien te connaitre.... Très bel article sur la solitude en tout cas merci à elle!!!
    Ps j'arrive toujours pas à faire une jolie entête à mon blog !!!!
    A bientôt
    Bises

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  4. Rassurez-vous, pour vous décharger un peu, je suis la nouvelle cible apparemment... mais je n'ai toujours pas compris pourquoi.

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  5. Elle traîne également chez Christophe André... La plupart des commentateurs essaient de l'ignorer mais elle est très douée, et parfois marrante.

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  6. Il faut croire que certain(e)s ont le chic pour se faire rejeter. Que ce soit volontairement ou involontairement. Et là découle un certain "problème" : Des patients, jeunes ou moins jeunes, se plaignent d'être seuls, voire de se faire rejeter, alors que ce sont eux/elles qui amènent le rejet et donc la solitude, qu'ils ou elles reprochent ensuite éventuellement ensuite aux autres.
    La "projection" a de beaux jours devant elle...
    Cela rejoint mes propos sur l'acceptation -ou non- des agressions dont nous nous sentons -remarquez que je ne dis pas "sommes"- victime... Devons-nous accepter les agressions (au mieux par éducation, par savoir-vivre ou par politesse, au pire par faiblesse ou par principe (ne pas exclure, ne pas stigmatiser, ne pas être relais dictatorial) ?
    Entre la liberté d'expression et la liberté d'accepter la liberté d'expression, je choisis à nouveau la liberté qui m'est donnée... d'exclure Stéphanie / Zoé en l’occurrence.
    Quand la seule action possible est celle-ci, quand la seule action possible est l'exclusion puisque dialogue constructif impossible, quand les paroles de l'autre font trop mal, quand les paroles de l'autre prennent à la fois trop de place et trop d'espace, quand elles prennent trop de temps de haine dans un espace de paix, il s'agit d'exclure, comme il s'agit d'envoyer un enfant dans sa chambre lorsqu'il crie trop fort alors qu'il n'a pas à crier.
    Stéphanie... Tu m'avais bien "ennuyé" dans mon autre blog. Tu ne t'es pas privé de sévir sur d'autres blogs de psy (décidément tu leur en veux, au psy's !), tu m'a retrouvé ici, et comme ailleurs, je t'exclue... Puisses-tu trouver d'autres cibles qui te diront la même chose. et : On ne peut "rencontrer" les gens qu'en étant, pas forcément d'accord avec eux, mais au moins respectueux de ce qu'ils disent ! Au moins auras-tu réussi ton "coup" : Te faire exclure et faire parler de toi.
    Ce n'est pas moi qui suis seul !

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  7. Oui la solitude peut être ravageuse. Mon fils l'a choisie au départ, mais finalement elle lui nuit plus qu'elle ne le libère.J'espère maintenant pour lui, et le plus vite possible, qu'il rencontre quelqu'un pour l'accompagner sur le chemin de la vie. C'est toujours mieux à deux..

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  8. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  9. Bonjour,

    Rien à ajouter au texte, qui aborde bien les différents aspects de la solitude, qui n'est pas forcément ressentie comme telle, qui n'est pas douleur ni tristesse.

    Rien à redire par rapport à la liberté de mettre fin à l'abus de liberté d'expression (il y a vite de quoi perdre la tête dans cette oppositions de liberté contraires...)

    Non, j'ai juste envie de réagir à la petite phrase de Moune, juste au dessus : "C'est toujours mieux à deux".
    Non. C'est pas toujours mieux. Parfois (souvent?) mieux, mais pas toujours. A deux ça peut même être un petit enfer en duo...

    Ceci dit sans désir aucun de polémiquer, juste pour ne pas laisser passer des "évidences"... bien improbables :o)

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  10. La solitude, c'est vraiment un thème qui me parle... Merci d'en avoir fait un article.

    SY

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  11. C'est toujours très étonnant cet acharnement à vouloir dans les commentaires , déstabiliser , provoquer , rabaisser l'auteur du blog
    J'aurais fait comme toi , banni cette personne , c'est stérile et polluant , je n'ai pas cette vision de la liberté d'expression et surtout mettre de l'énergie à répondre à des commentaires "polluants " , est ce que ça en vaut la peine ?

    Tu aurais pu citer Goldman aussi " je marche seul "
    la solitude est supportable quand on a la certitude de compter pour quelqu'un , c'est tout à fait ça , quand elle est choisie physiquement tout le temps que quelqu'un est toujours là pour dire "tu me manques " " je m'inquiète "
    et comme tu le dis , quand on est attendu , n'importe où
    La solitude fait peur ...

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  12. Je comprends ta décision pour Zoé... Il y a bien longtemps qu'elle te laisse des commentaires étranges, voire agressifs et te provoque :( Des bises de Sympho2

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  13. Je crois que Stéphanie-Zoé n'ose pas adresser cette phrase sur la solitude à la bonne personne, c'est à dire elle-même. C'est probablement sa solitude et son mal-être qui l'amènent à se décharger sur les autres. Plutôt que de se tromper de cible, il serait préférable pour elle de se poser les bonnes questions sur son attitude agressive et irrespectueuse. Mais, cela nécessite du courage, le courage de se regarder en face, tel que l'on est, sans tricher.

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  14. Vous me prendrez 10mn d'écoute de Ô Solitude du sieur Purcell H puis vous irez boire un coup à ma santé au bistrot du coin.
    Si rechute, me contacter.

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  15. Ce qui m'évade de ma solitude c'est l'imaginaire .

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  16. Bonjour Monsieur Psy -),
    C'est étrange, me dis-je (tournée vers moi-même -) que je sois venue sur votre blog ce soir.
    Je ne sais pas si vous me lirez. Même en lisant, je sais par expérience qu'on ne peut pas répondre à tout le monde, qu'on le souhaite ou non (d'ailleurs vous l'avez dit vous-même : les coms même lorsqu'ils n'ont pas de réponses, sont pour vous les bienvenus et lus). Je viens parfois chez vous et suis souvent émue de votre humanité et de votre accès. Ca c'est sûr en revanche, que franchement le jour où je comprendrais comment on parvient à se scinder (en 2) le psy "et l'autre", les poules auront des dents, ça m'épate toujours ! Dans théorie oui, mais... C'est une planète à part. Lol !

    Je vais me livrer un peu : c'est donc ce 08/11, jour de sentiment de solitude absolue que je vous lis. Concernant l'analyse de la solitude psychique et de la solitude physique je crois que chaque personne sensible sera d'accord. Votre vécu atteste votre compréhension et ces moments-lame de rasoir qui font si mal.
    "Drôle" que l'on soit à ce point poussé à écrire de telles phrases comme "vous êtes seul, plus que vous ne le croyez".
    Moi je suis pas psy, mais j'ai l'impression que ça doit être un vieux compte à régler avec les psy (non ?). Je ne vous connais pas mais vu ce que vous écrivez, je ne vois pas ce qui peut pousser à la vindicte.
    Etre attendu, être aimé, être apprécié oui, être un centre : toutes les réponses sont là.
    Parfois, on est attendu mais on ne sait combien de temps et tout paraît si précaire que ça en ferait presque hurler.
    Votre parcours qui, lui, n'est pas spécifique au psy donne foi. Tout me passer du noir au bleu petit à petit, en attrapant la corde.

    Passant du coq à l'âne, selon une spécialité toute personnelle, comme j'ai ri à cette théorie Desprogienne (sur l'amour et l'amitié). Un grand merci de l'avoir mise en ligne. SI je l'avais entendu, je l'avais bien oubliée en tout cas.

    Merci de vos témoignages, Monsieur psy.

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  17. Ah tiens ! Un lapsus, j'imagine ! "Tout me" !
    -)

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  18. ps : d'ailleurs, moi je ne sais même pas pourquoi j'envoie mes doigts tous ensemble taper sur un clavier.
    Vous êtes seul donc nous notamment qui vous lisons, n'existons pas.
    J'assimile, j'assimile
    -)

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  19. Quel appel au secours de la part de cette fille! Suffit de remplacer le vous par le je qu'elle est probablemement incapable de prononcer je pense. Evidemment, ça ne justifie en rien l'agression.

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  20. Je me souviens d'une nuit de 31 décembre passée seul à Paris : j'étais sorti de chez moi en me disant que j'allais marcher dans les rues et faire la fête avec les premiers que je rencontrerais. Et je me souviens être rentré seul trois heures plus tard sans avoir parlé à personne. J'avais certainement croisé du monde, alors qu'est-ce qui m'avait empêché d'aller à leur rencontre ? Je ne sais pas, mais avec un peu de distance je vois là une solitude ni choisie ni subie, mais inconsciemment organisée : je ne veux pas rester seul, mais personne ne me convient assez pour briser cet isolement. Je l'avais bien cherché !

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  21. Je vous ai bien lu, et bien apprécié votre commentaire.
    Passons sur Stéphanie/Zoé si vous voulez bien, tout ou beaucoup a été déjà dit à son propos.

    Un de vos propos m'interpelle cependant : f Je vous cite "Franchement le jour où je comprendrais comment on parvient à se scinder (en 2) le psy "et l'autre", les poules auront des dents..." Il ne s'agit pas (pas pour moi en tout cas) de me scinder en deux, d'un côté le psy et d'un autre le bonhomme. Je suis un bonhomme qui fait le métier de psy. C'est pourquoi d'ailleurs le nouvel intitulé de mon blog est "blog d'un psy".
    Merci de votre passage.

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  22. Oui , bon , je vous ai toujours pas lu M'sieu psyblog . J'ai la flemme , c'est trop long vos discours ... Vous m'avez z'exclue ? ... Vérification ...

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  23. Bon , alors psyblog . IL est temps d'effacer mes commentaires aulieu de vous en servir pour vous faire valoir comme héro merveilleux .
    Je ne crois pas en vous et c'est tout . Voila la seule offence que je vous fasse . Et c'est celle là que vous ne supportez pas .

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  24. Tu n'aimes pas psyblog, tu as mieux à faire que de le lire certainement.
    Tu ne crois pas en lui? Ok, tu en as le droit mais alors, passe ton chemin, c'est pas plus compliqué que ça. Pourquoi t'infliger la lecture de notes que tu n'approuves pas ? Une forme de masochisme peut-être ? Sinon, personne ne t'oblige à lire et encore moins à commenter pour dire que tu n'en as rien à faire...

    Psyblog n'est pas venu te chercher et il ne te retiendra pas je pense. Tu n'es pas indispensable, pas plus que moi, Psyblog ou d'autres sauf que tu veux avoir de l'importance qu'on ne t'accorde pas. Et c'est ça la seule offense qu'il te fait et c'est celle là que tu ne supportes pas.

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  25. Psyblog a dit qu'il allait effacer mes comm' et il ne le fait pas . S'il n'avait pas parlé de moi et si une de ses amies n'était pas venue sur un autre blog pour parler de ce billet alors je ne serais pas venue ici . Mais voila que Psyblog a parlé de moi , que sa copine X est venue parler de sa parlotte chez le DOC et que toi tu parles aussi de moi Béa . Alors commence par t'abstenir de parler de moi et celà sera plus simple .

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  26. IL y a aussi Hirondelle qui me parle sans me parler tout en me parlant pour en fait finalement flatter indiréctement Psyblog en se rangeant de son côté . Amusant comme stratégie . C'est d'ailleurs sur ce genre d'attitude de dévotion que comptait M'sieu Psyblog . Que d'admiratrices vous avez ! M'sieu Psyblog . Et qui toutes vous adorent ...

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  27. Pour en finir M'sieu Psyblog faites donc ce que vous prétendez devoir faire . IL n'y a aucun probléme pour moi . C'est votre blog qui n'appartiend qu'à vous , alors ma liberté d'expression n'est pas la quéstion . Je n'ai pas besoin de vous pour aller mal ou pour aller bien . Je n'ai pas à compter pour vous . Assumez votre choix . Et puis voilà

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  28. Bonsoir,
    Votre réponse, que je n'attendais pas, m'a fait très plaisir.

    Ce qu'il y a de marrant c'est que vous avez relevé ce qui, à moi, m'avait paru comme un peu anecdotique parmi ce que j'ai dit. Ne faites pas attention : cette réflexion de scinder concerne plusieurs questions mal synthétisée, du coup elle ne veut plus dire grand chose. Elle était de plus très générale.
    Que dire sinon que votre réponse est très normale. Je pense que c'est la capacité A LA FOIS d'empathie et de détachement/recul qui me semble surhumaine. C'est en effet un métier. Pour moi, c'est surhumain.
    Et un très beau métier. J'aurais juste été incapable de le faire.
    Voilà, ça explique mieux.

    Merci donc, vraiment.

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  29. M'sieu Psyblog , une de vos admiratrices a exporté votre querelle envers moi sur le blog de votre ami Cristhophe André .
    Vous m'avez instrumentalisée pour vous faire plaindre et ça marche bien . Bon , elle vous instrumentalise aussi pour se faire plaindre en se plaignant .
    ça devient rigolot , M'sieu Psyblog , votre histoire de victime .

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  30. Bonjour,
    je lis régulièrement votre blog, et je trouve beaucoup de piste de réflexion...
    Pour la solitude, vous parlez ici de la solitude interpersonnelle, celle qui fait qu'on ne se sent pas relié aux autres parce qu'ils sont loin ou parce que nous n'arrivons pas à nouer des liens. Mais je sens aussi qu'il existe une solitude propre à notre condition humaine, celle que Sartre, et les existentialistes appellent la solitude existentielle... Il est des expériences qui se vivent seul, même si on est entouré : la naissance, la mort. Personne ne peut vivre cela à ma place...
    Bien à vous,

    Althéa

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  31. J'ai commencé par vous écrire un message plein de tristesse... et de solitude. Mais il s'est effacé.
    Ce soir, même la solitude ne veut plus de moi.
    C'est pas grave...
    Merci de nous/vous offrir la liberté de partager vos émotions, vos réflexions et votre philosophie de la vie.
    C.

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  32. Je viens de découvrir ce blog est j'en suis tombée amoureuse. Je me retrouve totalement dans l'article sur la solitude...

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